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Les directives anticipées dans la loi de 2016. De l’intimité psychique à l’éthique soignante, comment dépasser les traumatismes ?
Article indépendant
L’application de la loi et ses évolutions face au traumatisme intime des familles conduisent à questionner le mourir et sa médicalisation. Est philosophiquement posée l’idée de penser la continuité du processus vie-mort. Nos sociétés vieillissantes subissent un clivage entre travail palliatif et thanatique qui altère la relation aux soignants. Le cas exemplaire d’une maladie incurable ouvre à l’idée de constituer un corpus de directives anticipées et d’animer des ateliers pédagogiques dès 18 ans.
https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2020-2-page-105.htm
Voir la revue «Études sur la mort, 154»
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