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Discernement et mise en paroles : quelle(s) place(s) pour un psychiatre dans les lieux de fin de vie ?
Article indépendant
Avec d’éventuelles lois permettant une aide active à mourir, se repose la question de la place d’un psychiatre pour accompagner une personne en fin de vie. Son rôle est naturellement de se rendre disponible pour cette ultime relation et de bien identifier ce qui relève du projet de mourir et ce qu’il en est du désir de mourir. Cette distinction permet aussi de soutenir les professionnels impliqués dans ce travail. Pour chacun, l’enjeu est de toujours laisser place à l’ambivalence et aux doutes tout en se constituant comme un interlocuteur fiable.
https://stm.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2025-3-page-171
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