0 avis
Efficacité et tolérance de l’immunothérapie, seule ou en association avec la chimiothérapie, dans le cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) avec mutation BRAF, HER2 ou MET exon 14 ou translocation RET ou NTRK, en traitement de première ligne métastatique ou après échec des thérapies ciblées. Étude GFPC 03-2020 IMAD-3
Archive ouverte
Edité par CCSD -
National audience. La prise en charge des cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) a été profondément modifiée par le développement immunothérapies et thérapies ciblées. Dans les études évaluant l’immunothérapie, peu d’informations sont disponibles sur la présence d’une addiction oncogénique, dehors mutations EGFR translocations ALK/ROS1. D’autres altérations moléculaires (mutations BRAF, HER2 ou MET exon 14 RET NTRK) susceptibles de modifier l’efficacité l’immunothérapie. IMAD-3 est une étude observationnelle, rétrospective, multicentrique incluant patients atteints CBNPC avec mutation translocation NTRK ayant reçu un traitement immunothérapie seule association chimiothérapie, première ligne métastatique. L’efficacité était évaluée taux réponse, survie sans progression (SSP) globale (SG). Cent cinquante-trois ont inclus dans 18 centres : 71 BRAF (non-V600 40, V600 31), 45 METex14, 19 HER2, 12 RET, 6 NTRK. Il s’agissait 60 % d’hommes, 26 non-fumeurs 88 d’adénocarcinomes. L’expression PD-L1 ≥ 1 chez 75 50 57 %. Le chimio-immunothérapie pour 58 %, mono-immunothérapie 42 Les réponse durées médianes SSP SG présentés Tableau 1. contrôle maladie supérieur cas (79,8 vs 64,1 p = 0,03). toxicité marquée 17,1 d’effets indésirables grade 3. cette rétrospective vie réelle, l’immunothérapie 1ère métastatique similaire celui rapporté l’étude KEYNOTE 024 [1]. également similaire, sauf groupe non-V600 qui elle inférieure.