0 avis
Le prélèvement d'organe : donner voix au consentement
Article
Une juriste, un médecin et un psychanalyste s'interrogent ici sur les dispositions visant à encourager les dons d'organe en vue de greffes. Pour surmonter les difficultés éthiques du consentement présumé, il faut d'abord s'interroger sur la nature de ce prélèvement, improprement appelé "don", et sur la tentation d'héroïsation des "donneurs" qui transparaît dans la loi de 2004.
Autres numéros de la revue «Esprit»