The number of diet, temperature and diapause on the number and identification of larval instars in the Oriental fruit moth Grapholita molesta (Busck) (Lepidoptera: Tortricidae). Effet du régime alimentaire, de la température et de la diapause sur le nombre et l’identification des stades larvaires de la tordeuse orientale du pêcher Grapholita molesta (Busck) (Lepidoptera : Tortricidae)

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Russell, D.A. | Bouzouane, R.

Edité par CCSD ; EDP Sciences -

International audience. It has been demonstrated that the Oriental fruit moth (Grapholita molesta) has 5 larval instars when reared on an artificial diet at various constant temperatures ranging from 11-28 °C, on apple and on peach at 25 °C and on an artificial diet and apple under field conditions. Instars may be distinguished by head capsule width on any one medium, but mean widths vary significantly between media. Insects feeding on peach shoots in the field in New Zealand and France showed only 4 larval instars. The distribution of head capsule widths from all the above experiments conform to Dyar’s rule. Larvae feeding on peach fruit in the field showed a complex mixture of 4 and 5 instar forms, whereas larvae reared under diapause inducing photoperiods had consistently larger mean head capsule widths for a given instar than those reared under different conditions. Mean head capsule size increased slightly with rearing temperature to a maximum of 25 °C then declined slightly to 28 °C. In addition to head capsule width, the colouration of body parts is used to provide a practical method of separating instars. . On montre que la Tordeuse orientale du pêcher (Grapholita molesta) présente 5 stades larvaires lorsqu elle est élevée sur milieu artificiel à différentes températures constantes de 11 à 28 °C, sur pomme et sur pêche à 25 °C et sur milieu artificiel et pomme en verger. Les stades larvaires peuvent être distingués par la largeur des capsules céphaliques sur chaque milieu mais les moyennes des largeurs varient significativement selon les milieux. Les insectes se nourrissant sur pousses de pêchers en conditions naturelles en Nouvelle-Zélande et en France montrent seulement 4 stades larvaires, tandis que sur pêches, au verger, ils montrent un mélange d’individus à 4 et 5 stades larvaires. Les larves élevées sous une photopériode induisant la diapause ont une capsule céphalique moyenne régulièrement plus grosse pour un stade donné que les larves élevées dans d’autres conditions. La largeur moyenne de capsule céphalique augmente légèrement avec la température d’élevage jusqu'à atteindre un maximum à 25 °C. Outre la largeur de la capsule céphalique, la coloration des différentes parties du corps est utilisée pour établir une méthode pratique de séparation des stades larvaires.

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