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Répercussions psychiques d’une grave maladie de l’enfant
Article indépendant
Une maladie grave peut évoluer vers une situation palliative pour laquelle il n’y a pas de guérison et où le pronostic vital est en jeu. Au début du XXe siècle, les premiers psychanalystes qui ont observé et étudié les effets de la maladie sur les jeunes enfants sont René Spitz à New-York, John Bowlby à Londres. René Spitz a développé la notion d’hospitalisme et de dépression anaclitique. Ils ont surtout orienté leurs travaux sur les répercussions de la séparation de l’enfant d’avec sa mère. Leurs enquêtes, leurs films ont modifié le regard porté par l’adulte à ces enfants. Il se développe alors l’idée que ce n’est pas la réalité de la maladie qui compte mais comme le dit Anna Freud : « l’état de maladie dans ses répercussions sur le monde intérieur de l’enfant.
https://www.cairn.info/revue-infokara-2023-1-page-29.htm
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